Editorial

Des actes de guerre contre le pacifique peuple béninois

Derrière les actes terroristes qui viennent d’endeuiller
notre armée et notre peuple déjà souffrant, les 30
novembre, 1er et 2 décembre 2021, tout citoyen
béninois doit y voir clairement la main de la France coloniale,
des actes de guerre français contre le pacifique peuple
béninois. Car tout le monde le sait maintenant, tout le monde
en convient désormais partout que le "Djihadisme au Sahel" est
le paravent mis en avant par la France coloniale et en perte de
vitesse pour faire la guerre aux peuple africains.
Un autre aspect de cette guerre est celle de la transformation
des hommes en cobayes par l’imposition d’un vaccin anti-Covid
encore au stade expérimental, ce que dénoncent plus de 60.000
scientifiques de par le monde. Cette guerre se fait dans notre
pays en complicité et sous la direction de l’autocrate Talon qui a
transformé les hommes du peuple en esclaves et entend les y
maintenir, comme le démontrent la situation faite aux
« Aspirants au Métier d’Enseignants » et la décision criminelle
de radier les signataires des mouvements de protestation et de
grève contre cette situation d’esclaves.
Mais l’exemple de la résistance héroïque contre
l’agresseur colonial français par Gbéhanzin, dont on
commémore le décès le 10 décembre 1906 (il y a 115 ans), ainsi
que l’expérience du soulèvement le 11 décembre 1989 qui a
renversé la dictature autocratique de Mathieu Kérékou,
constituent des sources morales de riposte du peuple contre la
guerre de l’impérialisme français et de son gouverneur
autocrate au Bénin, Patrice Talon.
Victoire au peuple !
La Rédaction

Editorial

Le peuple béninois vaincra à coup sûr l’autocratie

Tous les jours, sous le pouvoir de Talon, s’échelonnent les
unes après les autres des décisions et mesures
d’oppression, de ruine, d’appauvrissement et d’atteinte à
la vie et à la survie du peuple. L’imagination des dignitaires de la
Rupture est fertile et très fertile en création de nuisances antihumaines. Peut-on évaluer toutes les mesures de ruine prises
par le pouvoir de la Rupture depuis son avènement contre
l’ouvrier et le petit employé, la pauvre vendeuse des marchés,
l’artisan, le chauffeur des taxis privés et autres minibus ; contre
l’avocat, le notaire, l’huissier, etc. ?
Mais des couches du peuple réduites au rang d’esclaves se
mettent à crier. Les "Aspirants au Métier d’Enseignant" (AME)
protestent. Les vendeuses de Dantokpa s’élèvent contre la
mesure saugrenue du préfet de Talon, Alain ORUNLA. Dans la
reculade en catastrophe face à la houle de protestations, Talon
tente de se cacher et sacrifie son préfet.
"Agbonon" n’est pas invincible. Le peuple béninois vaincra à
coup sûr l’autocratie. Et dans le contexte du vent nouveau
patriotique et panafricaniste, le peuple saura édifier une
gouvernance patriotique et de probité, gage de son propre
avenir.
La Rédaction

Editorial

En avant pour la fin des tutelles coloniales et pour les
libertés complètes aux peuples !


Soutenir et intensifier la campagne initiée par la CSTB et
l’ODHP contre l’imposition du vaccin COVID-19 à la
population béninoise. C’est le sens de l’appel que lance le
Parti communiste du Bénin dans ce numéro. En effet, il est
inadmissible que le pouvoir de la rupture soumette les agents de
l’administration, les enseignants, les agents de santé, les usagers
des services publics et des collectivités territoriales à cette
torture inacceptable. Du reste, à travers le monde entier, des
grandes manifestations ne cessent de s’approfondir pour
combattre cette obligation vaccinale imposée par les Bigpharmas et exiger le respect des libertés fondamentales.
En Autriche, en Australie, en Europe, les peuples
s’opposent à cette atteinte inadmissible à leur droit à vivre libre
et en paix. Dans les colonies françaises comme la Guadeloupe et
la Martinique, cette opposition à l’imposition vaccinale s’est
muée en une insurrection pour la libération du joug de
l’impérialisme français et pour l’indépendance nationale. Au
Sahel, la montée inexorable des luttes contre la présence
militaire française avec le soulèvement des populations du Mali,
du Burkina et du Niger, indique que le sort de la FrançAfrique se
joue dans cette partie de l’Afrique. Tout ceci indiquant que
l’heure de l’indépendance des colonies et néo-colonies a sonné.
Pendant ce temps, au Venezuela, le pouvoir du Président
Maduro vient de remporter un franc succès lors des élections
municipales et régionales, infligeant une défaite cuisante à
l’impérialisme et à ses agents dans ce pays de l’Amérique latine.
Les peuples veulent vivre libre et en toute indépendance !
La Rédaction

Editorial

Résister ! Rejeter quoi que cela coute la guerre du
pouvoir contre son peuple.

Oui, cela ne mérite pas d’autres mots. Il s’agit de guerre,
cette soumission obligatoire de la population au
« Vaccin » dit anti-COVID. Déjà dès 8 heures ce 19
Novembre 2021, des agents vaccinateurs envahissent les rues de
nos villes et campagnes pour contraindre la population à se faire
vacciner. Ainsi se déroule la Campagne de vaccination lancée par
le Gouvernement avec pour objectif d’obtenir selon les
déclarations du Ministre Bio Tchane au moins 40% de la
population vaccinée d’ici décembre 2021. Alors que l’on est
encore à moins de 4%. Il s’agit d’une guerre, de l’accélération
d’une guerre déclenchée, (on ne sait pour quels motifs et les
forces qui y poussent) depuis le mois de juillet. Comme le dit une
Déclaration du PCB en date de juillet 2021 « Mais en fait, la
décision d’imposer la vaccination au peuple et aux jeunes de 18
ans et plus est une déclaration de guerre à la population. Une
guerre silencieuse mais d’une rare violence contre le peuple… Il
s’agit d’une guerre car, à la clé, il y aura des morts inutiles. Qui
en répondra ? » On tient à injecter une substance pour le moins
douteuse, dans le corps sain et non malade d’un individu et
contre sa volonté?!!! Et si quelque chose lui arrive, on ne s’en
charge pas. C’est inouï et c’est à inscrire dans les annales des
pages noires de l’histoire de notre pays. Car tout a été dit à
propos de cette histoire de « vaccin dit anti-Covid » mortifère et
qui sème déjà la mort dans les foyers, les maisons et dont on ne
parle pas sur les media officiels.
Notre peuple est donc en guerre pour la Vie, pour la Liberté, pour
la Dignité. Et il a le droit de se défendre par tous les moyens.
Notre population laissera-t-elle docilement se conduire à
l’abattoir, à la mort ou à des états d’invalidité permanente?
Ainsi se pose la question.
La Rédaction

Editorial

Tous pour la Patrie !
Tous pour la Vie !

La Patrie, la Vie tels sont les deux préoccupations qui
irriguent le numéro actuel.
La Patrie ! C’est l’événement intervenu le 10 novembre
2021 de la « récupération des 26 Trésors Culturels Royaux » volés
à la force des armes, par le colonialiste français et qui en vraie
morale de gang déclare ces « biens inaliénables ». L’événement,
s’il faut le considérer tel, n’a d’échos que par sa valeur de
symbole. Symbole - ce n’est que 26 Œuvres culturelles sur des
milliers encore confisquées, et encore choisies par le
colonisateur sans notre participation. Symbole, car avant le
Bénin, des pays africains ont sans tambour ni trompette
récupéré des biens culturels historiques. Symbole tout de même
positif car annonçant l’Aube de la Renaissance Africaine
désormais incontournable. L’Aube du recouvrement de toutes
nos richesses et valeurs perdues telles la langue, les cultures et
notre spiritualité.
C’est dans le cadre du Patriotisme que s’inscrit l’adresse aux
Enseignants de la faculté de droit de l’UAC en œuvre de
sabotage de la vie des jeunes étudiants et du développement du
pays.
La Vie ! Car notre population est toujours confrontée à
l’opération mortelle et mortifère d’envoi des citoyens à
l’invalidité physique ou à la mort pour certains, par injection de
substances nocives dénommées « vaccins anti-Covid ». Partout,
des Directeurs zélés, des Responsables administratifs zélés
jouant sur le chantage du ventre, menacent, sanctionnent,
certains allant jusqu’au renvoi des services, de fonctionnaires
pour les contraindre à se plier à cette opération hasardeuse aux
conséquences imprévisibles. Mais partout, le peuple résiste et
proteste au cri « Nous voulons vivre ! Nous refusons d’aller à la
mort ! » Oui nous voulons vivre et il n’y a pas deux vies. La Vie
pour chaque individu est Unique.
Tous pour la Patrie ! Tous pour la Vie !
La Rédaction