Editorial

Les exigences patriotiques finissent toujours par
s’imposer

Après avoir planifié la faim contre le peuple, le pouvoir de
Talon veut imposer le vaccin Covid-19 aux populations
dans un pays où le paludisme tue 150 fois plus que le
Covid-19. Ses soutiens fascistes, les journalistes à sa solde, sont
mis en avant et appellent le gouvernement à des sanctions
contre les agents de l’Etat et les salariés qui, de leur plein droit,
refusent un vaccin aux conséquences non connues qui
n’empêche pas d’être contaminé à nouveau ni de contaminer
d’autre personnes.. Mais avec la détermination du peuple, ces
« AGITATIONS FEBRILES DES ENRAGES DE LA RUPTURE :
IMPOSITION CRIMINELLE DU "VACCIN ANTI- COVID" NE PASSERA
PAS ».
Longtemps considérée comme utopique, la nécessité d’instruire
les enfants à travers leurs langues maternelles, défendue au
Bénin par le Parti Communiste, l’INIREF ainsi que les patriotes,
est aujourd’hui reconnue comme indispensable, même par la
Banque Mondiale. « LES EXIGENCES PATRIOTIQUES FINISSENT
TOUJOURS PAR S’IMPOSER ». C’est ce qui est également
démontré en Afghanistan avec « LA DÉROUTE DES ARMÉES DES
USA ET DE L’OTAN EN AFGHANISTAN » devant la détermination
au combat des Talibans à défendre leurs pays contre toute
occupation étrangère.
Avec la détermination au combat, le peuple béninois triomphera
du système du pacte colonial imposé par l’impérialisme français
avec ses armées en guerre ouverte ou sourde et ses gouverneurs
à peau noire à son service contre notre pays.
La Rédaction

Editorial

Rejeter les idées et attitudes défaitistes pour aller
vaillamment au combat émancipateur

L'écrasement devant le régime de terreur du pouvoir de
Talon, surtout après l’échec des tentatives d’empêcher
son second mandat, suscite des idées défaitistes : " Il,
(Talon) finira par partir un jour" et s’en remettre à Dieu. Ceci en
oubliant qu’il a été dit : « Aide-toi et le Ciel t’aidera ». On avait
propagé et pensé qu’il partira en 2021 puisqu’il a promis et juré
ne faire qu’un seul mandat. Maintenant, on lui fait dire qu’il
partira en 2026 parce que ce serait inscrit dans la Constitution
révisée. Oubliant encore là que celui qui a révisé une fois, peut
encore re-réviser. Même si physiquement il partait, il se ferait
remplacer par quelqu’un de son clan pour perpétrer le système.
Le peuple ne gagne rien à attendre. Talon ne renonce pas à sa
politique de ruine et d’appauvrissement du peuple. Toutes les
couches populaires comme « les Zémidjans souffrent ». Et les
souffrances continueront, augmenteront jusqu’à la mort si l’on
continue de se taire. Et se taire aujourd’hui aide Talon et son
système à rester tranquille au pouvoir. Il faut protester devant
toutes brimades, avec les moyens mêmes infimes à sa portée,
chercher à s’organiser mieux pour protester encore et encore.
Il n’y a pas d’autre issue possible pour le peuple pour assurer la
victoire. Aujourd’hui, un Rapport de la Banque Mondiale à
propos de l’instruction reconnaît qu’il faut « Enseigner aux
enfants dans la langue qu’ils comprennent ». Les idées
patriotiques et libératrices finissent par vaincre, lorsqu’on
continue inlassablement de les porter, de les défendre, de se
battre. Avec le combat, le pouvoir vomi de Talon, comme hier
celui du sinistre Kérékou-PRPB, sera vaincu, à coup sûr. Alors il
faut rejeter les idées et attitudes défaitistes et aller vaillamment
au combat émancipateur. Tel est le mot d’ordre.
La Rédaction

Editorial

Aider au renforcement de la conscience anti-impérialiste
pour porter le patriotisme au pouvoir

La célébration de la Fête du 1er Août 2021 a révélé, plus qu’à
l’ordinaire, l’indifférence et la désaffection des masses à
l’égard de la date du 1er août. Car de plus en plus, les
masses se rendent compte de l’état arriéré et dépendant de leur
société, la propagande des patriotes et la révolution technique
et informationnelle aidant. Les agents de la FrançAfrique
s’agitent ailleurs comme au Bénin où l’on a vu Talon et ses
soutiens zélés comme les Bruno Amoussou, à l’occasion du 1er
août 2021, bavarder au sujet de l’indépendance du pays sans
dénoncer un traitre mot du nécessaire recouvrement de notre
souveraineté monétaire, de la souveraineté linguistique, de la
souveraineté sur nos entreprises stratégiques et ressources.
Et pendant ce temps, le pouvoir autocratique reprend les
déguerpissements sauvages dans nos villes en semant la
terreur contre les populations affamées. Les masses attendent
autre chose et mettent en avant leurs aspirations. La jeunesse,
partout en Afrique porte plus fièrement le patriotisme. Alors,
face à la désapprobation des traitres de la direction de l’UNSEBUAC par les étudiants, réaffirmer la ligne de l’UNSEB devient
une nécessité pour le renforcement partout des luttes et de la
conscience patriotique de la jeune génération. Cette conscience,
face la « Réconciliation en Côte-d’Ivoire » ne peut que pousser
à demander si « Laurent Gbagbo s’est complètement rangé
dans la FrançAfrique ? !». Et comme illustration de cette réalité,
les Députés Ivoiriens ont choisi la date de la rencontre GbagboOuattara pour autoriser la ratification du traité CFA-OuattaraMacron de décembre 2019 à Abidjan contre l’ECO- CEDEAO.
Tous ces faits indiquent qu’il faut renforcer partout la conscience
patriotique pour battre les « gouverneurs à peau noire et leurs
maîtres » et porter le patriotisme au pouvoir.
La Rédaction

Editorial

Poursuivre les combats pour porter le patriotisme au
pouvoir

Le Bénin commémore le 1er août 2021 les 61 ans de son
indépendance. Mais il est de notoriété publique que
l’indépendance octroyée par le colonisateur français est
factice et « notre pays est et demeure un « Enclos colonial
français » et « ne dispose en fait d’aucun des attributs de
souveraineté d’un Etat : la monnaie, la défense, la langue, la
diplomatie, les leviers économiques stratégiques ». Les 61 ans ont
été le théâtre de « lutte entre le néocolonialisme et le
patriotisme » qui devient de plus en plus large, de plus en plus
ardent. La révolution philosophique mondiale actuelle qui a
éclaté à la suite de la révolution technique, nourrit et
approfondit la conscience humaniste et celle patriotique qui
grandit partout en Afrique et débouchera sur une période de
révolutions sociales. Alors les tribulations du pouvoir de Talon
qui veut imposer une chape de plomb sur l’enseignement
supérieur dans le maintien d’une université coloniale et que des
enseignants pro-autocrates acclament, ne feront que renforcer
et aiguiser les consciences pour vaincre le néocolonialisme et
porter le patriotisme au pouvoir. L’appel de André ASSE à
combattre la mainmise de Talon sur la direction de l’UNSEB-UAC
au plan international et précisément la situation en Tunisie, la
détermination du Parti des Travailleurs à se battre contre le coup
d’Etat d’inspiration autocratique témoignent de la vigilance des
patriotes à poursuivre les combats pour vaincre les forces du
néocolonialisme et porter le patriotisme au pouvoir.
La Rédaction

Editorial

 Rejeter le consentement aux complots des grandes puissances

La grande bourgeoisie a toujours recherché les moyens
d’obtenir le consentement des travailleurs et des peuples à
leur oppression et exploitation. Elle élabore à cet effet des
concepts, des théories, des techniques pour le « Consentement »
dans le combat de tout ce qui peut constituer des entraves à ses
intérêts. Ainsi, en est-il depuis l’apparition de la pandémie de
Covid-19. Selon les enragés du « vaccin anti-Covid », toute
expression de doute vis-à-vis de leur produit est « complotiste ».
« Le Complotisme, qu’est-ce que c’est et pourquoi l’assumer »,
explique Philippe Noudjènoumè, Président de l’Alliance Pour la
Patrie (APP). Il indique : « En résumé il y a trois grandes
défaillances dans le débat actuel à propos de la Covid-19. La
première est d’ordre épistémologique : il s’agit de rejet de tout
doute scientifique, refus de toute contradiction taxée de tous les
noms, « complotiste, indiscipliné, anti-Vax ». Or, sans le droit de
douter, plus de science. La deuxième est d’ordre éthique. En effet,
dans le domaine de la santé, l’éthique universelle impose la
nécessaire observance du principe de précaution ; s’agissant
surtout de la vie humaine. Ici c’est non ; tant pis pour ce qui
pourrait arriver dans le futur. La troisième, c’est la mise en avant
de la force des Etats, de leurs armées, de leur justice, de leur
parlement, des entreprises qui tiennent le ventre des hommes,
pour contraindre ces hommes à aller dans une aventure sans
lendemain. N’a-t-on pas le droit d’assumer le « complotisme » au
vu de graves problèmes humains qui se posent aujourd’hui (dans
l’être de chacun, sa vie, sa liberté) avec le Covid-19 ?
Assumant le combat contre ces enragés, « La Publication des
photos des employés vaccinés du journal ‘’Le Matinal’’ » après
les avoir menacé de licenciement indique bien la nature de
« Charles Toko, un Chef d’entreprise esclavagiste, brutal et
cynique ».
Assumer le « complotisme » pour rejeter le consentement aux
complots des grandes puissances, telle est la voie pour la
préservation de la vie des hommes.
La Rédaction