Adresse du Président de l’APP au peuple Béninois Philippe NOUDJENOUME appelle à la lutte pour en finir avec la tyrannie
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Adresse du Président de l’APP au peuple Béninois
Philippe NOUDJENOUME appelle à la lutte pour en finir avec la tyrannie
MESSAGE A L’OCCASION DU NOUVEL AN 2025
TRAVAILLEURS, JEUNES, FEMMES,
PEUPLE DU BENIN,
L’année 2024 tire à sa fin. Dans quelques jours, dans quelques heures, s’ouvrira une autre page, l’année 2025. C’est l’heure des bilans de l’année finissante.
Béninoises, Béninois,
Mes Chers compatriotes.
Ce qui est politiquement à l’ordre du jour et qui fait le débat de tout le peuple, c’est le Message sur « l’Etat de la Nation » en date du 20 Décembre 2024, du Chef de l’Etat, Président de la République, Patrice Talon.
I-Comment caractériser ce message du Président Talon ?
S’il faut caractériser ce message par un mot, c’est qu’il est catastrophique à tous les points de vue.
Editorial de La Flamme N°577: Face à un pouvoir illégitime et fermé à toute ouverture, se lever tous jusqu’à l’obtention de la réunion de la Conférence nationale.
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Editorial
Face à un pouvoir illégitime et fermé à toute ouverture, se lever tous jusqu’à l’obtention de la réunion de la Conférence nationale.
Après le discours sur l’Etat de la Nation de Patrice Talon le 20 décembre 2024 à l’occasion duquel ce dernier a montré qu’il était fermé à toute ouverture susceptible d’ouvrir la porte à tout consensus pouvant sortir le pays de la crise où il est plongé, le Président de l’Alliance Pour la Patrie le Professeur Philippe Toyo NOUDJENOUME dans une Adresse au peuple, indique la voie à suivre dans la situation actuelle :
Editorial de La Flamme N°576 du 20 Décembre 2024: Le dictateur a parlé !
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Le dictateur a parlé !
Dans son discours à la Nation en date du 20 décembre 2024, Patrice Talon assume sa politique de famine et de tyrannie contre le peuple. Dans le mépris des problèmes qui assaillent les masses ainsi que sur leur jugement du pouvoir, il s’étend sur ses "prouesses" dans une autosatisfaction basée sur les regards extérieurs, les appréciations de ses maîtres.
Tout ceci pour justifier ses projets pour le maintien et le renforcement de son système autocratique aujourd’hui en pleine crise. Il balaie ainsi les illusions colportées par ceux qui divertissent le peuple en parlant d’élections consensuelles, de compromis avec l’autocratie.
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Editorial de La Flamme N°575: Se battre pour la vie, pour la survie.
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Se battre pour la vie, pour la survie.
Le pouvoir autocratique est comme en rage renouvelée contre tout le peuple. Mesures arbitraires sur mesures assassines à l’instar de la fiche de convoyage contre les producteurs agricoles (soja, acajou, etc.) ; persécution des populations et usagers des routes par des éléments zélés de la police républicaine ; morts et désolation en recrudescence, semées par les terroristes à la solde bien connue des armées étrangères installées dans le pays ; tout cela vient s’ajouter à la faim planifiée et à la vie chère qui frappent les couches populaires. Pendant ce temps, l’autocrate étoffe et élargit sa cour (ministres-conseillers et autres) par des éléments zélés à son service, bien entendu aux frais du peuple que l’on pressure et assomme. Le pouvoir approfondit ainsi le gouffre dans lequel il a plongé le pays.
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Editorial de La Flamme N°574 Renforcer le combat pour le triomphe du patriotisme et l’affirmation de la souveraineté de notre pays.
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Renforcer le combat pour le triomphe du patriotisme et l’affirmation de la souveraineté de notre pays.
Coup sur coup, fin novembre il y a une semaine donc, le Tchad et le Sénégal ont exigé le départ des troupes françaises de leurs pays. Pour le Tchad, il s’agit de « mettre fin à l’accord de coopération en matière de défense signé avec la République française ». Car, cet accord est inefficace et non réciproque ; pour le Sénégal, c’est que « la souveraineté ne s’accommode pas de la présence de bases militaires (étrangères) dans un pays souverain. » Les arguments de l’un et l’autre pays se résument au fait que les accords dits de coopérations militaires avec la France ne sont que des éléments de poursuite de la sujétion coloniale, incompatible avec un pays souverain.