La Flamme N°478 : Don des pickups de la France à l’armée béninoise Quand le pyromane veut se faire passer pour sapeur-pompier
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Don des pickups de la France à l’armée béninoise
Quand le pyromane veut se faire passer pour sapeur-pompier
Le 25 novembre 2022, l’Ambassadeur de France au Bénin Marc VIZY a officiellement procédé à la remise d’une vingtaine de véhicules de type Pick-up à l’armée béninoise.
A cette occasion, il déclare que: « Le terrorisme doit être combattu. Les Présidents Patrice TALON du Bénin et Emmanuel MACRON de la France sont résolument engagés à travailler ensemble en faveur du renforcement des équipements des Forces Armées Béninoises ». Au nom de l’Etat béninois, le Chef d’Etat-Major des Armées, le Général Fructueux GBAGUIDI après réception des véhicules offerts a déclaré : « L’acte du partenaire français qui vient renforcer le parc automobile de l’armée béninoise à un moment où elle en a vraiment besoin pour ses opérations sur le terrain ».
Libéré de la prison le 23 novembre 2022, l’accueil triomphal de Laurent METONGNON se poursuit
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Libéré de la prison le 23 novembre 2022, l’accueil triomphal de Laurent METONGNON se poursuit
Editorial de La Flamme N°478 du 02 Décembre 2022: Des vendeurs d’illusions pour cautionner le renforcement du pouvoir autocratique
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Des vendeurs d’illusions pour cautionner le renforcement du pouvoir autocratique
A moins de cinq semaines des élections législatives, les partis participants, tous envoyés du pouvoir de Talon sont en campagne. Les partis se réclamant ouvertement de la mouvance présidentielle s’adonnent au jeu ridicule de se présenter chacun, comme les dindons qui font la roue pour séduire, comme le meilleur soutien du maître Talon. Les autres, tous aussi envoyés, s’acharnent à crier qu’ils sont de l’opposition, mais les traces encore visibles de leur parcours, de leur deal avec l’autocrate montrent la fausseté de leurs déclarations pro-démocratie. De façon particulière, "Les Démocrates" dont la liste des candidats est de notoriété publique (au sein même de leur part), construite par Talon, ne peut tromper personne sur ce fait qu’ils sont des envoyés en mission de Talon pour duper le peuple.
Editorial de La Flamme N°477 du 25 novembre 2022: Encore un désaveu populaire retentissant de la détention arbitraire de Laurent METONGNON
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Encore un désaveu populaire retentissant de la détention arbitraire de Laurent METONGNON
Editorial
Encore un désaveu populaire retentissant de la détention arbitraire de Laurent METONGNON
Une lettre de cachet, ainsi décidaient autrefois les monarques absolus d’envoyer au cachot qui leur déplaisait. Ainsi, l’autocrate Patrice Talon, entouré de sa Cour de ministres, le mercredi 02 novembre 2017, a jugé et condamné Laurent METONGNON. A la justice aux ordres de prononcer et d’exécuter la sentence. Alors, ni le caractère grossier des prétextes mis en avant par le Communiqué du Conseil des ministres, ni la désapprobation populaire, ni les condamnations par la Cour Constitutionnelles de la parodie de procès n’ont arrêté l’exécution de la lettre de cachet de l’autocrate. Laurent METONGNON et ses co-accusés ont été jetés en prison pour cinq ans. L’autocrate a évidemment toujours nié qu’il s’agissait de détention politique.
Editorial de La Flamme N°477 du 25 novembre 2022: Encore un désaveu populaire retentissant de la détention arbitraire de Laurent METONGNON
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Encore un désaveu populaire retentissant de la détention arbitraire de Laurent METONGNON
Une lettre de cachet, ainsi décidaient autrefois les monarques absolus d’envoyer au cachot qui leur déplaisait. Ainsi, l’autocrate Patrice Talon, entouré de sa Cour de ministres, le mercredi 02 novembre 2017, a jugé et condamné Laurent METONGNON. A la justice aux ordres de prononcer et d’exécuter la sentence. Alors, ni le caractère grossier des prétextes mis en avant par le Communiqué du Conseil des ministres, ni la désapprobation populaire, ni les condamnations par la Cour Constitutionnelles de la parodie de procès n’ont arrêté l’exécution de la lettre de cachet de l’autocrate. Laurent METONGNON et ses co-accusés ont été jetés en prison pour cinq ans. L’autocrate a évidemment toujours nié qu’il s’agissait de détention politique.