LES DEPUTES GODILLOTS ACCEPTENT LA VASSALISATION DU PARLEMENT BENINOIS
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COMMUNIQUE
A PROPOS DE LA VIOLATION DE LA CONSTITUTION ET DES LIBERTES DES DEPUTES PAR ADRIEN HOUNGBEDJI ET SON BLOC DE LA MAJORITE PRESIDENTIELLE.
Le 21 décembre 2017 devait avoir lieu à l’Assemblée Nationale outre l’adoption du budget 2018, l’exécution de l’injonction de la Cour Constitutionnelle, de désigner les membres de l’Assemblée Nationale devant siéger au Cos-Lépi.
Ce à quoi il a été donné au peuple d’assister, c’est à un spectacle où, un groupe accepte la vassalisation de l’Assemblée nationale au gouvernement et réprime les députés de l’autre camp jusqu’au sein du parlement. Ainsi, si en décembre 2015, l’adoption du budget était passée comme une lettre à la poste, depuis le 6 avril 2016, avec le rejet de la Constitution autocratique et la mise sur pied de la minorité parlementaire, les choses ont changé dans notre Parlement. Ces députés de la minorité parlementaire ont rédigé dans une déclaration à lire du haut de la tribune de l’Assemblée, la justification de leur rejet du projet de budget. Dans leur déclaration, la minorité parlementaire rejoint toutes les observations des partis et organisations démocratiques et de la société civile qui voit en ce budget, la poursuite de la politique anti-sociale du pouvoir autocratique.
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LE PCB SOULIGNE LA PORTEE DE LA DECLARATION DU PRESIDENT SOGLO
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A PROPOS DE LA DECLARATION DU PRESIDENT NICEPHORE DIEUDONNE SOGLO
Le mardi 05 décembre 2017, le Président Nicéphore Dieudonné SOGLO a tenu une conférence de presse au siège du Parti « La Renaissance du Bénin » (RB) à Cotonou. Cette conférence revêt, à n’en pas douter, un caractère historique. Et c’est pourquoi depuis lors, bien de choses ont été dites et écrites.
Ce qui est caractéristique du torrent de choses déversées, des déformations et attaques rageuses débitées, c’est leur convergence étonnante qui prouve leur origine commune et les intérêts majeurs qu’elle bouscule. Et cela ne peut étonner.
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L'UNSEB APPELLE LES ETUDIANTS A AGIR MAINTENANT
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ADRESSE AUX ETUDIANTS DU BENIN
Non à la fermeture des portes de l'université aux enfants de parents pauvres !
ÇA SUFFIT ! ON EN A MARRE ! AGISSONS MAINTENANT !
Camarades étudiantes, Camarades étudiants,
Depuis quelques années, étudier dans nos universités et écoles publiques n'est plus chose aisée pour les enfants de parents pauvres. D'abord, pour avoir accès aux écoles professionnelles, il ne suffit plus d'avoir une très forte moyenne au BAC; il faut être parrainé; il faut "avoir la main"; ce qui explique que les écoles professionnelles regorgent des enfants de DG, de ministres, de députés, d'ambassadeurs, de professeurs d'université, de hauts cadres tout court, et ceci au détriment des enfants de parents pauvres, même des plus brillants. Les frais de formation sont taillés à cette mesure-là : 400 000 par ci, 500 000 par-là, 600 ou 700 000 ailleurs en dehors des autres faux frais qui se créent tous azimut. C'est ainsi que les enfants de parents pauvres ne trouvent plus d'autres choix que de ruer vers les facultés et écoles classiques où les inscriptions étaient toujours libres. Mais désormais des barrières s'érigent de plus en plus au point où, dans certaines facultés notamment de l'UAC et ses centres universitaires, il faut constituer un dossier à étudier, payer des frais d'étude de dossiers qui s'élèvent au moins à 2000F et attendre d’être sélectionné comme dans les écoles professionnelles. Une fois, vous avez la chance d'être sélectionné, bienvenue le calvaire : d'abord pour s'inscrire ou se faire photographier, il faut venir prendre place à 3h du matin sans être sûr de pouvoir s'enregistrer juste parce que les postes d'inscription ou de pré-inscription ne sont pas démultipliés. Ainsi, vous pouvez passer un ou deux jours sous le soleil et la pluie avant de vous faire enregistrer. Après tout ce calvaire pour s'inscrire, vous vous rendez compte qu'il n'y a ni suffisamment d'amphithéâtres, ni suffisamment de places dans ceux qui existent pour étudier. Vous êtes obligés de venir prendre place dans les amphis à 3h du matin pour un cours qui démarrent à 8h ; sinon, il faut s'asseoir sur des briques, dans des escaliers ou rester debout... Comme si cela ne suffisait pas, après l'inscription réglementaire, on vous impose d'autres frais sous les vocables de frais d’inscription pédagogique , de relevé et d’attestation de diplôme, de Travaux Pratiques, de frais de reprise, de frais de réclamation...avec des prix qui varient d'un établissement à un autre et au gré des doyens et autres Chefs départements dans chaque université. Avec des conditions si difficiles, il faut payer 15 000F de frais d'inscription (la gratuité ne concernant que les non boursiers ni secourus qui passent en année supérieure) et faire face quotidiennement aux frais de photocopies à chaque cours et ceci jusqu'à la Licence. Après la licence, les études sont terminées pour les enfants de parents pauvres. Désormais, il faut pouvoir se trouver un stage souvent non rémunéré dans une entreprise avec toutes les contraintes financières et matérielles que cela engendre avant de revenir pour s'inscrire en Master et payer des frais de formation qui, comme dans le privé varient entre 300 000 F et 700 000 F. Dans toutes les universités, le manque d'enseignants qualifiés est criard malgré les nombreux Docteurs qui attendent d'être recrutés...
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LE PROCUREUR TOGBONON SEME LA CONFUSION DANS LES DOSSIERS EN COURS
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Sortie médiatique du Procureur de la République du Tribunal de 1ère Instance de Cotonou :
Gilbert Ulrich Togbonon poursuit sa mission commandée au service du pouvoir corrompu de Talon.
Dans un point de presse en date à Cotonou du 04 Décembre 2017 sur les dossiers Cnss/Bibe, Onasa et Caia, point de presse rapporté par certains journaux de la place, on lit les mêmes informations que celles du Conseil des ministres du 02 Novembre 2017 relativement au dossier Cnss. La nouveauté par contre c’est que le Procureur à ordre dit : « J’ai, au regard des faits exposés, ouvert une enquête qui a conduit à l’interpellation de huit personnes » avant d’ajouter précise « La Nation », l’officiel du Gouvernement que « consigné dans un procès-verbal d’audition, un des mis en cause a reconnu avoir distribué des commissions aux membres du Conseil d’administration de la Cnss qui ont autorisé les différentes opérations de dépôt à terme. « Ces faits, s’ils venaient à être établis, tombent sous le coup des dispositions des articles 40 alinéa1 et 53 de la loi n°2011-20 du 12 octobre 2011 portant lutte contre la corruption et autres infractions connexes en République du Bénin ».
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L'AUDITION DEVANT LA BEF CONFIRME LA CABALE POLITIQUE CONTRE LAURENT METOGNON
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DECLARATION DE PRESSE
Cotonou, Bourse du Travail, le 18 novembre 2017
Poursuites contre le camarade Laurent METONGNON : un procès politique
L’audition du camarade Laurent METONGNON par la BEF à propos de l’Affaire CNSS-BIBE a eu lieu hier vendredi 17 novembre 2017. La délégation du FSP et de nombreux militants, sympathisants, parents et amis ont maintenu un sit-in devant les locaux de la BEF de 09 heures jusqu’à deux (02) heures du matin et ce, malgré les provocations des éléments de la CRS armés jusqu’aux dents, dépêchés sur les lieux qui ont barré les voies d’accès et empêché de nombreux militants de se joindre aux manifestants qui scandaient LIBERTE POUR LAURENT METONGNON ! Les députés patriotes de l’opposition sont également venus à la BEF apportés leur soutien au camarade Laurent METONGNON.
Le camarade Laurent METONGNON qui a reçu la convocation de la BEF, la veille après 19 heures s’est présenté dès 09 heures 30 minutes pour les auditions prévues pour 10 heures décidé et déterminé à affronter et confondre tous les comploteurs fabriqués par le pouvoir de TALON dans ce dossier juridiquement vide.
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