YAYI BONI, UN FRAUDEUR ET UN INTRIGANT, DOIT ETRE CHASSE DU POUVOIR.

Le Samedi 08 Janvier 2011 vers les 22 heures, YAYI Boni fait publier et ceci à la surprise générale, deux décrets fixant l’un le premier tour des élections présidentielles au 27 Février 2011 et l’autre, les élections législatives au 17 Avril 2011. La surprise ne réside pas dans la fixation de ces dates notamment celles du premier tour des élections présidentielles au 27 Février 2011, mais dans tout ce qui a précédé et reste à faire pour des élections transparentes au Bénin. YAYI réalise ainsi et ceci avant terme, un véritable hold-up électoral. Tenez : Sans parler des dispositions nécessaires contre la distribution des sous et l’achat des consciences et autres tripatouillages, aucune des conditions administratives et techniques d’organisation d’une élection transparente n’est réalisée à ce jour au Bénin.

POINT DE PRESSE DU 1ER SECRETAIRE DU PCB SUR LA SITUATION NATIONALE

Mesdames et Messieurs les Journalistes

Camarades, Chers amis

Permettez-moi de vous adresser mes vœux de bonne et heureuse année : Santé et détermination dans les combats pour l’émancipation de notre pays. A messieurs les journalistes en particulier, je souhaite que la plume et le micro soient davantage au service de la vérité et du patriotisme.

TUNISIE :

LE GENERAL ZINE EL ABIDINE BEN ALI DESTITUE PAR LE PEUPLE S’EST ENFUI

Depuis décembre 2010, la jeunesse tunisienne, les travailleurs et les intellectuels progressistes tunisiens sont dans la rue pour protester contre la faim, le chômage et le bâillonnement des libertés démocratiques. Cela fait vingt-trois ans que cela dure. Vingt-trois  ans qu’avec l’appui des américains, le Général Ben Ali a renversé Bourguiba et instauré une dictature des plus féroces appuyée par les gouvernements français successifs ; vingt trois ans que le peuple tunisien produit pour enrichir ses dirigeants et leurs commanditaires étrangers, lesquels utilisent les médias dont ils ont les commandes pour couvrir les cris et les gémissements de la jeunesse et du peuple tunisien qui n’en peuvent plus de ployer sous le poids de la misère croissante, des tortures et des emprisonnements, de la censure, de l’interdiction des journaux et des agressions contre la presse. Mais depuis un mois, cela a explosé ; à Sidi Bouzi, un jeune diplômé chômeur à qui on venait d’arracher son étal de fruits dont la vente lui permettait de vivre s’est immolé par le feu. Les manifestations qui ont suivi n’ont eu de cesse de croître et de gagner en ampleur, embrasant tout le pays jusqu’à la capitale Tunis et Souss. Malgré la féroce répression policière qui s’est abattue sur les manifestants et leurs soutiens. Malgré la chape mise sur les médias, malgré le blocage des sites internet, la révolte des tunisiens et leurs cris ont traversé l’espace et se sont répercutés dans le monde entier et l’opinion démocratique mondiale a commencé à protester, obligeant même les autorités françaises, les complices de toujours de Ben Ali à avouer qu’une répression excessive avait cours en Tunisie.

INADMISSIBLE CENSURE PAR L’ORTB DE L’ANNONCE DU CANDIDAT DU PCB PHILIPPE NOUDJENOUME AUX ELECTIONS DE 2011

Le samedi 22 janvier, une conférence des cadres a décidé de la participation du PCB aux prochaines élections présidentielles et désigné son candidat, le Professeur Philippe NOUDJENOUME, 1er Secrétaire du Parti.

Dans l’enthousiasme, les conférenciers ont décidé de porter aussitôt l’information au peuple à travers la diffusion payante par bande annonce sur les chaines de télévision de la place. Une souscription a été lancée et les frais réunis à cet effet. Une équipe est diligentée aussitôt pour la réalisation de cette décision.

COMMUNIQUE AUX TRAVAILLEURS, A LA JEUNESSE ET AU PEUPLE

Philippe NOUDJENOUME, Candidat aux élections présidentielles

pour « un pouvoir des travailleurs et des peuples du Bénin»

Le Comité Central du Parti Communiste du Bénin (PCB) élargi aux cadres, s’est réuni en conférence ce jour 22 janvier 2011 à Cotonou, pour examiner la situation politique nationale et les luttes des masses.

La Conférence des Cadres, après analyse des programmes des différents candidats aux élections présidentielles 2011, a constaté qu’aucun d’entre eux ne prend en compte la revendication fondamentale des hommes et des femmes de chez nous à l’heure actuelle, à savoir : un pouvoir des travailleurs et des peuples.