ADRESSE AUX MAGISTRATS DU BENIN

Je me sens un devoir moral de m’adresser à vous en ces circonstances, pour deux raisons : la première,  je me sens bien proche de votre corps, celui des magistrats, et de beaucoup d’entre vous en particulier pour avoir été parmi l’un de vos derniers formateurs et pour être théoricien de la matière que vous êtes chargés d’appliquer. La deuxième raison est qu’en tant que citoyen et qui plus est Responsable d’une Organisation politique de ce pays, je ne saurais rester indifférent à tout ce qui se dit et se raconte sur vous et que malheureusement la pratique de beaucoup d’entre vous tend à attester.

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COMMENT BONI YAYI TUE, PUIS TORTURE LES VICTIMES

(EXEMPLE DE NATITINGOU)

Le samedi 15 décembre 2012, Philibert SABI YERIMA agent d’assurance en service et vivant à Natitingou est arrêté chez son père, sur ordre du juge Marcel AHEHEHINOU avec un mandat d’arrêt établi depuis mai 2012. A la suite de cette arrestation, le père, Ignace SABI YERIMA est arrêté le lundi 17 décembre 2012, interrogé, libéré, puis repris et conduit en prison le même jour. Paul L. FARADITO est également interpellé et arrêté ce même jour. Ils sont accusés dans le cadre de l’assassinat du jeune El Hadj KOUABI Fawaz, abattu par balle par la police lors d’une marche pacifique le 04 mai 2012, sur ordre du commissaire Baguidi KOTO YERIMA, réquisitionné par le préfet Gervais N’DA SEKOU. Tous ces responsables, le préfet et le commissaire, ont reconnu publiquement avoir fait tirer à balle réelle sur des manifestants inermes le 04 mai 2011. Les parents de Fawaz ont déposé une plainte en juin 2011. Et pourtant le magistrat à ordre de Boni YAYI ne fait rien contre les assassins, mais torture les démocrates et révolutionnaires. Contre de tels crimes abominables du pouvoir de Boni Yayi, le Comité de Développement de Natitingou a publié un mémento édifiant sur l’Affaire Fawaz que le Parti Communiste reproduit ici intégralement.

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SPECIAL COMMEMORATION DU
11 décembre 1989 : Journée des Libertés

Le 11 décembre 1989 ce fut la « Journée des Libertés », c’est la journée du patriotisme, de l’héroïsme, de la dignité ; c’est la journée de l’affirmation de la volonté d’émancipation
de notre peuple. C’est cela qu’il faut enseigner aux jeunes générations comme repères pour bâtir du beau, du généreux. (extrait de l’Editoria)

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Parti Communiste du Bénin (PCB)

Parti Communiste Révolutionnaire Voltaïque (PCRV, Burkina Faso) 

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DECLARATION CONJOINTE PCB – PCRV

Sur la situation de la sous-région ouest africaine et au Mali

Avec la crise qui frappe le système capitaliste, la plus grave depuis 1929, les rivalités entre les grandes puissances impérialistes pour le repartage du monde se sont exacerbées ; elles s’étendent particulièrement au continent africain, objet de leurs convoitises tout comme celles des nouveaux acteurs tels que la Chine, l’Inde, le Brésil, etc.

Ainsi, depuis l’année 2010, la sous-région ouest africaine et particulièrement la zone sahélo-saharienne est marquée par les ingérences et interventions militaires des puissances impérialistes sous le prétexte de « la lutte contre le terrorisme », le grand banditisme transfrontalier, les narcotrafiquants, etc.

 

ADRESSE DU 1er SECRETAIRE DU PCB AUX ENSEIGNANTS : RENTREE 2012-2013

Le 1er Octobre dernier, s’est effectué la rentrée académique officielle de l’année 2012-2013. Comme tout le monde l’a constaté, l’atmosphère à cette rentrée est morose et pleine d’amertume, avec pour vous les enseignants, le sentiment de frustration tant dans votre dignité que dans le maintien de vos exigences élémentaires demeurées inassouvies- sinon bafouées- par le gouvernement en place. Vous n’avez pas le coeur à la tâche tant les provocations du pouvoir jusqu’à la veille de cette rentrée étaient nombreuses et inadmissible. Boni YAYI et son pouvoir voudraient faire boycotter la rentrée scolaire et ensevelir définitivement l’Ecole béninoise qu’ils ne s’y prendraient pas autrement.

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