LA FLAMME N°312 SPECIAL MALI

Depuis le 11 Janvier 2013, la France est en guerre au Mali. En terre africaine. Ainsi après la Côte d’Ivoire, la Lybie en 2011, c’est actuellement le tour du Mali. Et les prétextes ne manquent pas. En Côte d’Ivoire, c’était pour « libérer le peuple ivoirien du dictateur Laurent Gbagbo qui, battu aux élections, refusait de céder le fauteuil ». En Libye, c’était pour venir « au secours des révolutionnaires libyens en lutte contre le tyran Kadhafi ». Au Mali, le prétexte mis en avant, c’est pour lutter contre les

islamistes jihadistes « coupeurs de bras » et sauvegarder l’intégrité territoriale du Mali. On nous ressert en quelque sorte l’.argument de la fameuse «mission civilisatrice» qui avait servi de prétexte aux agressions coloniales

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COMMUNIQUE A PROPOS DE LA DECLARATION DE LA COORDINATION DES FCBE AU SUJET DE LA SITUATION NATIONALE ACTUELLE

Réunie le samedi 16 mars 2013, la Coordination nationale des Forces Cauris pour un Bénin Emergent(FCBE), dans une déclaration à propos « des derniers événements caractérisant la situation nationale », s’est violemment attaquée à la prise de position en date du 06 mars 2013 du groupe Alternative Citoyenne.

Montrant sa nature de Parti-Etat au service d’un nouvel autocrate, Boni YAYI, la Coordination des FCBE ne s’est pas du tout gênée, au sujet d‘une affaire pendante devant la justice, d’affirmer sans ambages qu’il y a eu «tentative de coup d’Etat contre l’ordre constitutionnel», que des « compatriotes, manipulés par des personnes mal intentionnées….se sont organisées dans la perspective de plonger notre pays dans le chaos » (Cf La Nouvelle Tribune n° 2515 du 18 mars 2013). Sans attendre la justice, le Parti-Etat FCBE a déjà jugé et condamné ; il ne lui restait qu’à rechercher les personnes mal intentionnées ainsi que les soutiens politiques du coup d’Etat. Et de là, un saut sur la prise de position politique (expression d’une opinion !) de Alternative Citoyenne en date du 06 mars dont les éléments sont accusés « de travail de sape » ayant «donné des intentions à des putschistes qui ont, quant à eux, tenté de trouver des solutions que le document (de Alternative Citoyenne) n’a pas eu le courage d’indiquer clairement »

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ADRESSE AU PEUPLE DU BENIN

A propos des menaces terroristes qui pèsent sur notre pays !

Béninoises, Béninois

Mes chers compatriotes !

Le samedi 23 Février 2013, les média internationaux (France 24, RFI etc.) relayant un communiqué émanant du Ministère français des Affaires étrangères (Quai d’Orsay), font état de ce que le Bénin, notre pays est classé sur « la liste des pays à risque d’attentats et d’enlèvements dirigés contre les ressortissants français ». Le communiqué du Quai d’Orsay intitulé « Conseil aux Voyageurs » précise que « l’engagement de la France au Mali ainsi que celui des pays membres de la CEDEAO dont fait partie le Bénin est susceptible d’avoir les répercussions sur la sécurité des Français résidents ou de passage dans le pays ».

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Adresse Aux députés de l’Assemblée Nationale

 

 

A propos de l’entraînement de notre pays dans la guerre au Mali.

Mesdames et Messieurs les Députés et Chers Compatriotes,

Aussitôt après l’intervention des troupes françaises au Mali le 11 janvier 2013, le Chef de l’Etat a annoncé l’envoi des éléments des Forces Armées du Bénin combattre au Mali. Cette attitude a soulevé la réprobation de certains députés qui ont rappelé que l’implication au combat des Forces Armées du Bénin dans une guerre doit recevoir l’approbation préalable de la Représentation Nationale.

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A propos de la condamnation de Me Lionel AGBO pour « offense au chef de l’Etat »

Le mercredi 23 Janvier 2013, après quatre mois de procès, le tribunal de 1ère instance de Cotonou sous la présidence du juge Togbonon et du procureur Gbènamèto a condamné Me Lionel Agbo à 6 mois de prison ferme pour « offense à chef de l’Etat ».

L’offense consisterait en ce que Me Lionel AGBO au cours de la conférence de presse en septembre 2012 aurait dit que « le chef de l’Etat est malhonnête. Il a sanctionné certains de ses collaborateurs et a laissé d’autres » ceci dans le cadre de l’affaire de corruption dénoncée des membres proches du cabinet de Boni YAYI au sujet du projet de Port sec de Tori.

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