Pétition contre l’expulsion massive des Comoriens de la colonie française de Mayotte.
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Pétition contre l’expulsion massive des Comoriens de la colonie française de Mayotte.
Ce qu’il faut savoir c’est que l’archipel des Comores est composé de quatre îles principales. Sous la colonisation française, les quatre îles ensemble, composaient la colonie des Comores. Au moment de l’indépendance en 1975, la France a tout fait pour détacher Mayotte de l’ensemble en la conservant comme département et ceci pour y conserver une base militaire au niveau du canal du Mozambique. Ni l’ONU, ni l’Union Africaine (UA) ne reconnaissent cet acte de gangstérisme d’Etat. Naturellement, les Comoriens considèrent Mayotte comme une partie de leur pays et ne comprennent pas pourquoi on leur refuse d’y venir. Débordée par cette situation, la France coloniale entreprend une action de déportation des Comoriens hors de Mayotte à travers une opération dénommée « UWAMBUSHU » qu’il faut combattre à tout prix.
Correspondances
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Correspondance
MAMA Sanni et Armand GANSE sont aussi des propriétaires de bœufs dans la Commune de Bohicon
C’est avec une grande joie que j’ai lu le numéro 494 votre journal paru le 24 mars 2023 et qui parle des conflits entre les agriculteurs et les bouviers. C’est désormais clair aux yeux de tous qu’il s’agit d’un système mis en place par les riches pour gruger comme à leur habitude les pauvres paysans.
Le système n’épargne aucune contrée dans notre pays. C’est pourquoi, je voudrais vous informer à travers cette correspondance que la Commune de Bohicon est aussi victime du phénomène. Et les responsables pour ne pas dire les propriétaires de bœufs dans la Commune sont notamment MAMA Sanni et Armand GANSE (ancien Directeur général de la SOGEMA, actuellement député à l’Assemblée nationale).
L’EAU DE LA SONEB, UNE DENREE DE MOINS EN MOINS DISPONIBLE DANS L’OUEME
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L’EAU DE LA SONEB, UNE DENREE DE MOINS EN MOINS DISPONIBLE DANS L’OUEME
Depuis quelque temps, les populations de l’Ouémé, en particulier celles de Porto-Novo, sont privées d’eau potable de la SONEB. Ça fait des semaines et des semaines que cette situation éprouvante perdure dans la quasi indifférence des autorités politico-administratives et locales. La SONEB n’arrive pas à satisfaire, à plein temps, aux besoins des abonnés, contraints de vivre des jours et des semaines sans eau. Or, tout le monde sait que l’eau est une denrée incompressible, vitale et stratégique qui, lorsqu’elle vient à manquer, porte un coup dur au fonctionnement des ménages, des communautés, des sociétés, etc. On peut manquer de quoi manger une journée. Mais lorsqu’on manque d’eau une journée, les effets sont plus durs, voire paralysants, car c’est un besoin transversal.
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Sous prétexte d’occupation illégale d’espace public au Marché Dantokpa 33 vendeurs et vendeuses à la sauvette jetés en prison Le CONARAB et l’ODHP réagissent
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Sous prétexte d’occupation illégale d’espace public au Marché Dantokpa
33 vendeurs et vendeuses à la sauvette jetés en prison
Le CONARAB et l’ODHP réagissent
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COMITE NATIONAL DES REVENDEURS, VENDEURS ET ARTISANS DU BENIN (CONARAB)
A propos des arrestations en cours dans le rang des revendeurs à la sauvette : Les brimades doivent s’arrêter ; trop, c’est trop !
Depuis quelques jours, une répression s’abat sur les revendeurs et revendeuses à la sauvette dans la ville de Cotonou et plus précisément au marché de Dantokpa. Aux commandes de l’opération se trouve le Directeur Départemental de la Police Républicaine du Littoral, le Commissaire Etienne HOUEGBAN assisté par son collègue Commissaire de police Dimitri AÏSSI.
Traque contre les transporteurs et exportateurs de Soja et noix de cajou Coincé par la résistance des producteurs, Talon fait recours à la violence aveugle
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Traque contre les transporteurs et exportateurs de Soja et noix de cajou
Coincé par la résistance des producteurs, Talon fait recours à la violence aveugle
Depuis quelques jours, la traque à l’encontre des producteurs, revendeurs et transporteurs des noix de cajou et surtout des graines de soja s’intensifie. Toutes les frontières terrestres sont surveillées. Des douaniers, policiers et militaires y sont positionnés. Avec cette mobilisation de militaires à côté des policers et des douaniers pour traquer la vente de leurs produits, les producteurs, les revendeurs et transporteurs sont considérés comme des ennemis de la patrie à abattre. Extraordinaire, non ??!! Ces forces militaires procèdent à l’arraisonnement des camions et autres moyens de transport chargés de soja ou de noix de cajou. Des conducteurs sont arrêtés, menottés. Certains passent des jours en garde à vue dans les commissariats pendant que d’autres sont jetés en prison. Les produits sont confisqués. Pour récupérer leurs camions, les propriétaires sont contraints à payer des amandes allant jusqu’à 500.000 FCFA ou plus par camion. Par ailleurs, ceux qui choisissent de contourner les frontières officielles sont aussi pourchassées et traqués dans les brousses. Et marchandises et motos sont confisquées. Les mêmes traitements leur sont infligés au même titre que les conducteurs de camion. Les représailles vont jusqu’à des menaces de fusillades.