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REPUSCULE DU MATIN N°69 Manifester le rejet du nouveau gouverneur colonial
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CREPUSCULE DU MATIN N°69
Manifester le rejet du nouveau gouverneur colonial
L’imposition du nouveau gouverneur colonial, Lionel Zinsou envoyé de Paris pour la reconquête du Bénin ne passe pas. La désapprobation populaire ne faiblit pas. Elle s’est manifestée par la fureur contre la coalition apatride Fcbe-Prd-Rb-Eclaireur-Ub apparue au grand jour la nuit du 12 janvier. Le peuple ne décolère pas contre la traitrise de Adrien Houngbédji et Léhady Soglo. La campagne soutenue du Parti communiste, de la Convention Patriotique des Forces de gauche, du front contre la recolonisation reçoit l’adhésion de la jeunesse et du peuple. L’ex Président, Nicéphore Soglo, se démarque de la traitrise de son fils Léhady et réaffirme son rejet de la recolonisation, continue de dénoncer la FrançAfrique.
CDM n°66: Les obsèques de Mathieu Kérékou : le peuple a boycotté l’hommage au dictateur
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CREPUSCULE DU MATIN N°66 :
Les obsèques de Mathieu Kérékou : le peuple a boycotté l’hommage au dictateur
Ce numéro spécial est consacré à la clôture de la campagne contre la falsification de l’histoire du Bénin organisée par les organisations démocratiques des droits de l’homme. On y montre comment un dictateur qui a fait le malheur du Bénin pendant 29 ans puisse être présenté à notre peuple comme « le père de la démocratie, un grand homme » et un exemple par le pouvoir de YAYI Boni et autres thuriféraires, falsificateurs de l’histoire. On y restitue le vrai visage du personnage pour la jeunesse et pour la vérité historique. Lisez plutôt.
Crépuscule du matin numéro 65 du 23 novembre 2015
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Editorial : Les manifestations de refus
La catastrophe dans laquelle le pays est plongé se décline sur tous les tons : économique, sociale, et politique et surtout morale. Elle est décrite par ses auteurs, les hauts-bourgeois qui ont dirigé et ruiné le pays depuis 1990. Tous, toute honte bue, sans aucune autocritique, nous parle aujourd’hui de transition, sans préciser la transition de quoi vers quoi ? Tous, ignorent, méprisent royalement, s’ils ne combattent pas férocement les manifestations de refus des travailleurs et des jeunes qui refusent de faire les frais de la catastrophe. Or ce sont ces manifestations qui tracent le chemin de la transition, qui indiquent, non seulement les abominations à absolument rejeter, mais les pierres de la construction du nouveau qui est appelé. Aucune force ne peut empêcher ce nouveau de naître.
La Rédaction
Crépuscule du matin numéro 64 du 13 novembre 2015
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Editorial : C’est au peuple de se lever
Le procès en cours de l’affaire Dangnivo a déjà révélé, quel que soit le cours ultérieur des choses que le pouvoir de Yayi est impliqué jusqu’au cou dans ce crime d’enlèvement et de disparition de ce cadre du ministère des finances depuis août 2010. Désormais, il est apparu au grand jour que le pays est dirigé par un gouvernement d’assassins. Par ailleurs, la révélation par la presse du voyage des candidats aux prochaines présidentielles à Paris pour une concertation autour du maître impérialiste confirme le fait que les hommes d’affaires candidats ne sont pas politiquement différents des hommes politiques qui ont ruiné le pays. Ils ne sont pas plus aptes à sortir le pays du gouffre. La solution à la situation du Waxala dans laquelle le pays est plongé ne se trouve pas dans les élections, mais dans la levée du peuple pour balayer le système de pillage, de fraude et d’impunité.
La Rédaction
Crépuscule du matin numéro 63 du 11 novembre 2015
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Editorial : La révolution ou le replâtrage
Tout le monde convient que le pays est à terre, que le Renouveau a fait faillite, que « Alédjo (la Conférence nationale) est mort ». Le marché de dupes a déployé tous ces effets néfastes, tout ravagé et plongé le pays dans le Waxala. Ce constat s’impose aux acteurs même de cette Conférence. Jusqu’à un Albert Tévoédjrè, rapporteur général de ladite assise de 1990, qui appelle aujourd’hui à un gouvernement de salut public, donnant raison au Front de Refus du Bénin-Waxala. Mais en même temps, les auteurs et bénéficiaires du système multiplient les concertations avec leur maitre impérialiste français pour tenter encore et toujours un replâtrage, des réformes de duperie afin de perpétuer le pacte colonial, le système d’impunité. Les aspirants gouverneurs français à peau noire sont à Paris à cet effet. Mais les aspirations du peuple sont à une solution salutaire, au balayage de ce système et la sanction de ses auteurs. Il faut arrêter la mascarade électorale pour un Gouvernement de salut public.
La Rédaction