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FSP: TALON DETRUIT L'ETAT DE DROIT MAIS LE PEUPLE RESISTE
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DECLARATION
Le Front pour le Sursaut Patriotique (FSP) a tenu une Assemblée générale au sujet de la situation socio-politique actuelle et des tâches immédiates du Front. Cette assise qui a connu la participation des organisations membres ainsi que des comités régionaux du Front a adopté la déclaration dont la teneur suit :
En trente mois de pouvoir, le Président TALON a achevé la destruction de la démocratie et de l’Etat de droit au Bénin. L’arsenal juridique légalisant la dictature autocratique est complètement installé. Désormais, la liberté d’opinion et de réunion n’existe plus. Le pouvoir de TALON traque, arrête, juge en moins de deux heures et condamne à douze mois de prison un jeune protestataire comme Sira KOROGONE pour délit d’opinion. On peut désormais légalement juger une affaire déjà jugée. La Cour d’appel est dans les faits supprimée. Une Cour d’Inquisition, la fameuse Criet, juge, sans recours, tout citoyen à lui envoyé par le pouvoir. Les poursuites et procès sous TALON, contre les opposants et concurrents, Laurent METONGNON, Valentin DJENONTIN, etc, et maintenant encore Sébastien ADJAVON ont révélé aux yeux du monde entier que la justice au Bénin est une justice sans foi ni loi.
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LE FSP FUSTIGE LE DELIRE REPRESSIF DU POUVOIR DE TALON
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COMMUNIQUE
A PROPOS DES RECENTS ASSAUTS DU POUVOIR DE TALON CONTRE LES JEUNES ACTIVISTES ET OPPOSANTS POLITIQUES
Depuis une semaine, une série d’actes de répression sont dirigés contre des responsables de l’opposition et/ou contre des jeunes activistes.
On a eu droit à l’envoi à la Criet (Cour de Répression des Infractions Economiques et du Terrorisme), par le ministre de la justice en personne, du dossier des ministres à faire juger par la Haute Cour de Justice. Ensuite, c’est le député Valentin Djènontin qui est convoqué à l’Office de lutte contre la cybercriminalité pour le jeudi 27 septembre 2018. Et puis, c’est le Président Sébastien Adjavon qui doit se présenter le 04 octobre 2018 à la Criet.
Depuis ce matin, on apprend la chasse aux jeunes activistes : Sabi Korogoné est arrêté, Habib Ahandessi recherché ainsi que d’autres.
Le crime de ces jeunes, c’est d’avoir proclamé leur désaveu du pouvoir de Talon et leur volonté de le combattre. Leur crime par conséquent, c’est d’avoir parlé.
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LE FSP FUSTIGE LE DELIRE REPRESSIF DU POUVOIR DE PATRICE TALON
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COMMUNIQUE
A PROPOS DES RECENTS ASSAUTS DU POUVOIR DE TALON CONTRE LES JEUNES ACTIVISTES ET OPPOSANTS POLITIQUES
Depuis une semaine, une série d’actes de répression sont dirigés contre des responsables de l’opposition et/ou contre des jeunes activistes.
On a eu droit à l’envoi à la Criet (Cour de Répression des Infractions Economiques et du Terrorisme), par le ministre de la justice en personne, du dossier des ministres à faire juger par la Haute Cour de Justice. Ensuite, c’est le député Valentin Djènontin qui est convoqué à l’Office de lutte contre la cybercriminalité pour le jeudi 27 septembre 2018. Et puis, c’est le Président Sébastien Adjavon qui doit se présenter le 04 octobre 2018 à la Criet.
Depuis ce matin, on apprend la chasse aux jeunes activistes : Sabi Korogoné est arrêté, Habib Ahandessi recherché ainsi que d’autres.
Le crime de ces jeunes, c’est d’avoir proclamé leur désaveu du pouvoir de Talon et leur volonté de le combattre. Leur crime par conséquent, c’est d’avoir parlé.
La rage répressive est d’autant plus furieuse et illégale qu’elle s’attaque à une liberté fondamentale, la liberté d’expression. Tout le monde se rend compte que ce pouvoir a complètement tourné le dos à la démocratie. Ainsi le ministre de la justice peut allègrement violer la Constitution en décidant d’envoyer devant la Criet, d’anc
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LE FSP A PROPOS DE L'ANNULATION DES TAXES SUR LA COMMUNICATION
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COMMUNIQUE
A PROPOS DE L’ABROGATION DU DECRET PORTANT TAXATION DES COMMUNICATIONS ELECTRONIQUES
Le 22 septembre 2018, trois jours après la mise en œuvre du décret n° 2018-341 du 25 juillet 2018 portant introduction d’une contribution sur la consommation des services de communications électroniques fournis par les réseaux ouverts au public en république du Bénin, le gouvernement annonce l’abrogation dudit décret et le retour aux tarifs antérieurs à compter du lundi 24 septembre 2018.
Cette reculade donne des leçons.
En effet, on se souvient que le 25 juillet 2018, comme cadeau au peuple et à la jeunesse à la veille de la fête nationale, le Président Patrice Talon, prend un décret portant introduction d’une contribution sur la consommation des services de communications électroniques fournis par les réseaux ouverts au public en République du Bénin. Le décret est illégal car cette taxe est introduite sans l’autorisation de l’Assemblée nationale que l’on sait vassalisée et qui n’arrive même pas à protester lorsque le gouvernement boucle le budget national avant le vote et la transmission de son propre budget.
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DÉCLARATION DU FSP A PROPOS DE LA GOUVERNANCE DE PATRICE TALON ET DES GRAVES ATTEINTES AUX DROITS DE L’HOMME
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DÉCLARATION
A PROPOS DE LA GOUVERNANCE DE PATRICE TALON
ET DES GRAVES ATTEINTES AUX DROITS DE L’HOMME
Depuis 2016, le gouvernement de la « rupture » et ses députés aux ordres n’ont fait qu’imposer au peuple béninois des lois liberticides voire scélérates votées au pas de charge. Ainsi en est-il aujourd’hui du nouveau code électoral voté sans tenir compte des protestations populaires encore moins des amendements de l’opposition parlementaire. Un code qui est apparu aux yeux de tous et même à l’international comme anti démocratique, liberticide et destiné, à la promotion des nantis au détriment notamment des jeunes et des femmes. Les cautions qu’il préconise à savoir 249 millions pour les listes électorales et 250 millions pour l’élection présidentielle sont hors de portée du commun des Béninois et consacrent ainsi la ploutocratie. Elles contrastent avec la pratique de la gouvernance électorale dans la sous-région, en Afrique et dans le monde. Ce code qui impose le quitus fiscal donne au pouvoir la possibilité de sélectionner, d’éliminer les opposants de la compétition électorale.