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ODHP: LA PERSECUTION POLITIQUE SE POURSUIT CONTRE L. METOGNON
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COMMUNIQUE DE PRESSE
La persécution politique se poursuit contre
Laurent Mètongnon et ses co-accusés.
Le mardi 13 Mars 2018, le Dossier CNSS/BIBE passait pour la 4ème fois devant le Tribunal de Première Instance de Cotonou. La dernière audience remonte au 30 janvier dernier. Elle n’a pas prospéré au motif que les magistrats étaient en grève. A l’audience de ce 13 Mars 2018, il y avait trois Dossiers en dehors de celui de la CNSS/BIBE.
Le juge AZO Rodolphe et ses assesseurs font leur entrée dans la salle d’audience largement après 9 heures. Après le protocole et les formules d’usage, il donne le verdict dans le procès contre les Pharmaciens grossistes dans l’Affaire dite des faux médicaments. Puis, l’audience est suspendue aussitôt après. Elle ne reprendra donc que vers 11 heures. A la surprise générale, le juge annonce que l’audience ne pourrait se poursuivre ; au motif que le Bureau de l’UNAMAB (Union Nationale des Magistrats du Bénin) a rappelé ses militants qu’ils sont à l’ordre, pour l’observance de la grève qui a cours dans les tribunaux.
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L'ODHP ALERTE L'OPINION SUR LES PERSECUTIONS POLITIQUES AU BENIN
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ALERTE
A L’OPINION NATIONALE ET INTERNATIONALE
Dossier de persécution politique au Bénin :
Cas de Laurent METONGNON et de ses co-accusés.
Nous venons porter à l’attention de l’opinion publique nationale et internationale que les nommés Laurent METONGNON et ses co-accusés Célestin AHONON, Moussa Jérémie MORA auxquelles ont été joints Edouard ADEGOKE, Saliou YOUSSAO et Alassane KEMOKO sont des détenus politiques.
En effet, messieurs Laurent METONGNON, Edouard ADEGOKE, Saliou YOUSSAO étaient respectivement Président et membres du Conseil d’Administration de la Caisse Nationale de Sécurité Sociale (CNSS) entre septembre 2013 et novembre 2016 ; Alassane KEMOKO, Célestin AHONON et Moussa Jérémie MORA étaient membres de la Direction Générale de ladite Caisse.
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KEREKOU : HALTE A LA FALSIFICATION DE L'HISTOIRE
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KEREKOU : HALTE A LA FALSIFICATION DE L'HISTOIRE PAR OUSMANE BAKOTO
Un type comme BATOKO, qui a été le ministre de la propagande du PRPB et qui a réussi à passer entre les mailles du filet en se faisant confier un des organismes protecteurs des libertés aujourd'hui, devait, par décence et par respect pour les victimes du pouvoir de KEREKOU éviter de les provoquer en racontant n'importe quoi. Face à une provocation de BATOKO, voici la réponse du Professeur NOUDJENOUME Philippe.
Procès Gbagbo ou le procès de la honte et de l’humiliation de l’Afrique
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Procès Gbagbo ou le procès de la honte et de l’humiliation de l’Afrique
Après plus de 4 ans d’instruction, le procès Gbagbo s’ouvre le 27 janvier 2016 à la Haye. L’ex- Président Laurent Gbagbo et l’ancien ministre Charles Blé Goudé sont accusés par la Cour Pénale Internationale (CPI) de crime contre l’humanité, de meurtres, de viol, etc. dans le cadre de la crise postélectorale en Côte d’Ivoire en 2011.
Dès l’ouverture du procès, bon nombre de personnes physiques et morales dont des organisations de la société civile jubilent et acclament. Le procès Gbagbo serait la preuve d’une justice internationale en marche, etc. Loin de nous l’idée de nier les atrocités qu’on peut reprocher au camp Gbagbo et en conséquence les réparations dues aux victimes.
Procès Gbagbo ou le procès de la honte et de l’humiliation de l’Afrique
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Procès Gbagbo ou le procès de la honte et de l’humiliation de l’Afrique
Après plus de 4 ans d’instruction, le procès Gbagbo s’ouvre le 27 janvier 2016 à la Haye. L’ex- Président Laurent Gbagbo et l’ancien ministre Charles Blé Goudé sont accusés par la Cour Pénale Internationale (CPI) de crime contre l’humanité, de meurtres, de viol, etc. dans le cadre de la crise postélectorale en Côte d’Ivoire en 2011.
Dès l’ouverture du procès, bon nombre de personnes physiques et morales dont des organisations de la société civile jubilent et acclament. Le procès Gbagbo serait la preuve d’une justice internationale en marche, etc. Loin de nous l’idée de nier les atrocités qu’on peut reprocher au camp Gbagbo et en conséquence les réparations dues aux victimes.