ADRESSE AUX FEMMES DU BENIN
POUR LA CELEBRATION DE LA JOURNEE DES DROITS DE LA FEMME

Le 8 mars 2018, le monde entier célèbre ce qu’il est convenu d’appeler la journée des droits de la femme. A cette occasion, j’apporte mon salut et mon soutien à toutes celles qui souffrent et qui ploient sous les agissements du pouvoir mafieux et affameur de Patrice Talon.
Cette journée prend sa source dans les luttes ouvrières et les nombreuses manifestations de femmes réclamant le droit de vote, de meilleures conditions de travail et l’égalité entre les hommes et les femmes, qui agitèrent l’Europe et le monde occidental, au début du XXe siècle. La création d’une « Journée internationale des femmes » est proposée pour la première fois en 1910, lors de la conférence internationale des femmes communistes par la grande révolutionnaire Clara Zetkin. Au début, aucune date n’était fixée et ce n’est qu’à partir de 1917, avec la grève des ouvrières de Saint Petersburg en pleine situation révolutionnaire en Russie, que la tradition du 8 mars se met en place.

 

Communiqué aux femmes

NON A L’IMPOSITION DE YAYI BONI COMME PRESIDENT

PAR GNONLONFOUN JOSEPH ET  DOSSOU ROBERT

Les femmes du Bénin viennent de se réveiller avec la confirmation par Robert DOSSOU, président de la cour des miracles, du coup d’état électoral de Joseph GNONLONFOUN, président de la CENA. Les femmes du Bénin savent que Boni YAYI vient ainsi d’être confirmé à la tête de notre Etat dans un acte d’imposture.

En effet, Les élections présidentielles actuelles ont été émaillées du début jusqu’à la fin par fraude : une LEPI à marche forcée, cafouillage indescriptible dans la distribution des cartes, manipulation en parallèle par le président sortant de bulletins et de cachets, etc. C’est pour valider tout cela tel quel que le président de la CENA a perpétré son coup d’Etat électoral que la Cour Constitutionnelle de Robert DOSSOU n’a eu qu’à confirmer.