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Scandale : Dernière campagne de vaccination contre la poliomyélite
Arrêtez les vaccins de la mort contre nos populations


La dernière campagne de vaccination contre la poliomyélite en faveur des enfants de 0 à 5 ans qui a débuté le 14 octobre 2022 a été une véritable catastrophe selon des informations recueillies au niveau des populations et au niveau de beaucoup parents. L’un d’entre eux dont l’enfant vacciné était encore au CNHU, raconte : « Ma fille de 02 mois qui a reçu le vaccin il y a moins d'une semaine, a une toux intense et intermittente avec des difficultés respiratoires. C'est ce qui nous a inquiétés et nous nous sommes rendus à l’hôpital. » Pour un autre : « Sans vous mentir, depuis le jour où les agents vaccinateurs étaient passés à la maison, mon fils souffre de rhume, corps chaud, toux, etc. » Un autre dit : « Après leur passage vers 10 heures, les choses se sont compliquées pour ma fille de 1 mois et demi. C'est la toux qui a démarré et elle fait sortir du sang par la gorge avant qu'on se retrouve à l'hôpital quelques heures plus tard ». Des cas de détresses seraient signalées dans le Zou, le Couffo, l’Atlantique. On parle même de cas de nombreux décès. Les populations s’interrogent sur le « poison » qu’on aurait injecté à leurs enfants en guise de vaccination.


Face à ce nouveau drame sanitaire, le Gouvernement a été obligé de suspendre la campagne au deuxième jour. Mais, si Gouvernement a suspendu la campagne le 15, et ce n’est que le 24 octobre que le ministre Hounkpatin intervient pour donner « des clarifications » sur les causes du drame, il y a de quoi se poser la question de savoir comment le Gouvernement de Patrice Talon fait face à ses responsabilités.


En effet, dans une conférence de presse en date du 24 octobre 2022, le ministre de la santé du gouvernement de Patrice Talon, Benjamin HOUKPATIN a dévoilé les raisons pour lesquelles la campagne de vaccination contre la poliomyélite démarrée le 14 octobre sur toute l’étendue du territoire a été suspendue. C’est ainsi qu’on apprend que : « Des manifestations d’effets indésirables ont été recensées chez certains enfants dès la première journée de cette campagne. » Et il poursuit : « Aussi, le gouvernement maintient les mesures suivantes après la restriction de l’administration du vaccin à certaines cibles en dépit des recommandations internationales : – la suspension de la campagne à la fin du deuxième jour ; – la saisine en urgence des comités des experts au niveau national et international pour l’analyse des cas de manifestations adverses post immunisations enregistrées et la recherche d’un lien éventuel avec le vaccin utilisé ;– la sollicitation d’une contre-expertise internationale pour le contrôle de qualité des lots de vaccins utilisés. »


A propos de toutes ces mesures, on peut parler du médecin après la mort. Le Ministre parle d’effets indésirables, sans dire quels effets et surtout leur gravité, comme de banals effets sans graves conséquences. Or, le bruit court que des enfants seraient morts lors de cette campagne et que c’est cela qui a entrainé l’arrêt de la campagne. Ensuite, le Ministre affirme restreindre la vaccination à certaines cibles, donc continue la vaccination à ces cibles sans avoir les résultats des soi-disant expertises à solliciter ! C’est criminel !


Ce qu’on constate à propos de toutes ces déclarations du ministre, c’est qu’aucune précaution n’a été prise avant le début de la campagne. Le ministre révèle que la campagne a été suspendue en dépit des recommandations internationales. Aucune leçon n’a donc été tirée de l’épidémie du covid dont ont profité les Big-pharmas pour accumuler des richesses colossales sur le dos des peuples et au mépris de leur vie. Toutes les mesures qu’envisage le gouvernement à l’heure actuelle ne devaient-elles pas être prises avant le début de la campagne ?


Dans une Adresse au peuple et à la diaspora en date du 21 avril 2020 et intitulé : « Le Bénin ne servira pas de terre d’expérimentions de vaccin aniti-COVID.19 et de vaccins mortels des Impérialistes ! » le premier Secrétaire du Parti Communiste du Bénin, Philippe NOUDJENOUME a déclaré : « Je puis affirmer aujourd’hui au regard de toutes les investigations tant nationales qu’internationales, au regard de la croissance exponentielle des maladies diverses dégénératives, cas de cancer, infertilité masculine, et féminine etc., que bon nombre de vaccins inoculés à nos populations africaines, sont frappés de suspicion légitime de nuisance sanitaire, qu’ils constituent des poisons pour réduire la fertilité et accomplir le génocide en Afrique. En conséquence désormais, tout vaccin avant d’être injecté à la population, doit subir un contrôle par un Comité Scientifique et de Bioéthique (indépendant) constitué de biochimistes, de virologues, de médecins etc. chargés de contrôler tous les vaccins et d’en publier les résultats avant toute inoculation au Bénin. Sans cette précaution, toute personne aura le droit de s’opposer à de telles opérations de vaccinations non contrôlées. »
Si le Gouvernement de Patrice Talon, avait suivi ces sages conseils, on ne déplorerait pas ces conséquences mortelles de vaccins douteux ou périmés qu’on inocule à nos enfants.


Tout ceci est d’autant plus important que les puissances impérialistes sont décidées à limiter la population africaine par tous les moyens. Les Big-pharmas qui sont prêts à venir tester toutes leurs saloperies sur les populations africaines avant leur utilisation dans les métropoles impérialistes ne reculent devant rien. Pour eux, la vie des africains ne comptent pas. Le Gouvernement de Patrice Talon qui est prêt à se coucher devant les diktats des impérialistes occidentaux doit tenir compte de tout ce contexte pour épargner la vie des béninois. Le ministre Benjamin Hounkpatin qui n’est jamais responsable de rien, doit savoir que trop c’est trop et que lui et son patron Patrice Talon auront à répondre un jour des forfaits qu’ils commettent contre le peuple béninois.


Et pour l’instant, « arrêtez les vaccins de la mort contre nos populations ».


Samson

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