Editorial
Seule l’alternative d’une nouvelle Conférence nationale est salvatrice pour le peuple.
Les thuriféraires du pouvoir de la Rupture, ne justifient le choix de Wadagni que par son profil de technocrate, sa supposée jeunesse et sa région d’origine et comme programme, la continuité du système Talon. Du point de vue politique, cela relève de leur part du refus de faire le bilan de leur gouvernance depuis bientôt 10 ans et de présenter un programme de gouvernement de Romuald WADAGNI.
Or ce bilan, vécu par le peuple, fait et répété par les dirigeants patriotes, notamment Philippe NOUDJENOUME est sans appel : « le pouvoir de Talon est le plus autocratique, le plus brutal, le plus affameur, le plus impitoyable et le plus assassin de la souveraineté de notre Etat que notre pays ait connu depuis le Renouveau Démocratique. »
Ce système, soutenu et entretenu par les puissances impérialistes, la France et ses alliés de l’Otan, qu’il sert docilement, le peuple n’en veut plus. Les enjeux actuels se résument à la liquidation de ce système. Et contre les manœuvres de Patrice Talon pour son maintien avec son dauphin Wadagni, seule l’alternative d’une nouvelle Conférence nationale est salvatrice pour le peuple.